OFFIBAT

Bertrand Chenu
Vice-président du groupement Offibat

Figure historique du groupement, Bertrand Chenu revient sur la création d’Offibat, son parcours, et les valeurs qui animent les entreprises réunies autour de ce projet collectif.

Comment est né Offibat ? Racontez-nous l’histoire du groupement.

Après près de 30 ans dans une PME familiale, puis quatre ans dans l’entreprise qui l’avait reprise, j’ai rejoint en 2013 les fondateurs de Cide Elec et TSO en tant que directeur général, sous le nom de Volta. En 2018, @Benjamin a intégré le groupe comme directeur administratif et financier. Très vite, nous avons préparé la suite en reprenant les rênes du groupe avec un partenaire financier. À cette occasion, Benjamin est devenu directeur général, puis président.

C’est à cette période qu’Offibat est né, pour fédérer plusieurs entreprises et surtout entrepreneurs autour de Cide Élec et TSO Réali : RSCP, Copcie, Specv et plus récemment Altrelec.

Quel est votre rôle ?

Pour ma part, je pilote historiquement plutôt la partie commerciale. Je connais l’ensemble de nos clients et je veille à entretenir une relation de proximité avec eux. Avec 45 ans d’expérience, j’accompagne les entreprises du groupement sur les enjeux commerciaux et je transmets progressivement mes contacts et expériences aux dirigeants de nos entreprises afin d’assurer la continuité du groupe et son succès.

Pourquoi avoir voulu créer un groupement d’entrepreneurs comme Offibat ?

Lorsque Benjamin a pris la tête du groupe, nous avons souhaité faire évoluer notre identité. Le nom Volta renvoyait trop exclusivement à l’électricité. Nous avons donc cherché un nom plus représentatif de l’ensemble de nos activités. Après consultation, c’est Offibat qui s’est imposé, le service au bâtiment.

Si vous deviez résumer l’esprit Offibat en trois mots ?

Le service, la proximité avec nos clients, et l’humain.

Quelle est selon vous la plus grande force d’Offibat et qu’est-ce qui fait, encore aujourd’hui, la différence du groupement sur le marché ?

Dès le départ, nous avons souhaité structurer Offibat autour de valeurs fortes et d’un collectif fort. C’est dans cet esprit que nous avons initié la démarche ISO 26000, qui reflète nos engagements. Nous étions 4 personnes au capital en 2013, nous sommes aujourd’hui près de 50 et, contrairement à de nombreux groupes, nous avons tous investi dans les mêmes conditions financières. Il n’y a aucun avantage particulier accordé à qui que ce soit, cette équité et cette transparence donne bien plus de sens et de force à un collectif. Notre différence réside également dans notre agilité et dans la qualité du service que nous apportons à nos clients. Nous avons toujours cherché à travailler vite, bien, et de la meilleure manière possible pour satisfaire nos clients.

Qu’est-ce qui vous rend fier aujourd’hui quand vous regardez le chemin parcouru ?

Je suis fier du développement de notre groupement. Quand j’ai rejoint l’aventure en 2013, nous réalisions quelques millions d’euros de chiffre d’affaires. Aujourd’hui, nous avons franchi un cap important. Mais ce qui me rend le plus fier, c’est d’avoir su fédérer des équipes et de jeunes dirigeants dynamiques, engagés, avec un bel avenir devant eux. Le succès d’Offibat est avant tout collectif. Il repose sur les femmes et les hommes qui, chaque jour, font avancer le groupement.